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On a tous un truc qui nous tient à coeur.

25 septembre 2008

"UNITED WE STAND, DIVIDED WE FALL !",

"UNITED WE STAND, DIVIDED WE FALL !", European Social Forum.

"L´Union fait la force, mais dis moi, qui fera l´Union?", D.Saez.

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14 septembre 2008

"SO, OF COURSE, YOU WERE SUPPOSED TO CALL ME TONIGHT...", Soko.

It’s like everything I don’t want just keeps happening. It’s amazing how a few stupid things can let you down, a word, a melody, a look, a memory. Anything. Things can both make your day and break it down. It’s amazing how a few simple words can change everything; amazing to realize how tough it is to say these simple words though. I wish I could be more talkative, emotionally talkative. It doesn’t need to be a lot; not even to be often. But it does need to BE though, and I just start realizing it. Life is sometimes a matter of chance but what really matters are our choices. What to do, where to go, how to do it, how to go there. It takes sometimes courage to change, event to simply choose to change. Moving from a place to another, moving from a project to another, moving from a dream to another, moving from a status to another; It's amazing how brave we can be to confront ourselves to new stuffs, and how coward we are to confront ourselves to our "feelings". It's weird how hard it is just to accept these feelings, to spread them. I was thinking... merely thinking... why is it that hard not to hide what we feel? Why is it that easy not to show what we think?

Well, I guess it's simply because feelings are the most scary things ever. The ones that rule our lives, build our paths, govern our acts, and so on. Whatever how brave, strong, sceptical, cold, we are/we think to be, feelings frighten.

BONUS : Soko.

10 septembre 2008

WATCH OUT ! Edvige is stalking you !

J´aime penser que rien n´est irreversible. Que peu de choses sont innées et alors ancrées à jamais dans un individu. J´aime penser que chaque être humain est ce qu´il est pour ce qu´il a vécu, vu, subi, au cours de sa vie. Alors j´aime pas l´ambiance de suspicion douteuse que certains veulent installer, et prônent depuis quelque temps. Depuis un certains 6 mai d´une autre année. Et même avant.

Trop simple d´utiliser des mots forts pour ne pas parler des maux forts. Trop simple de vouloir faire croire que les racailles sont des racailles car elles sont des racailles. Trop simple de vouloir passer le message que la violence n´est pas là pour transmettre un message, mais qu´elle est là pour violencer, juste violencer. Trop simple de mettre de côté des problèmes en les disant résolus, jusqu´aux prochains. Plus forts.

Trop simple de penser que la délinquance est une question de gènes pour ne pas dire que la société crée les problèmes qui gênent.

Trop simple maintenant de vouloir fichés, affichés, le passé des Francais pour contrôler, dicter, leur avenir.

J`aime pas ces réformes, qui indirectement, laisse transparaître le même message : ON NE PEUT AIDER PERSONNE, CE QUI A ETE EST INCHANGEABLE, JAMAIS.

Et alors, oui, pourquoi comprendre le fond des émeutes alors qu´il est si simple de pointer le doigt sur la forme de celles ci? Et puisque la délinquance est génétique, pour sûr ce n´est pas l´Etat, tout bon ´quíl soit, qui va être en mesure de prendre de réelles mesures pour faire évoluer tout ca. Et puis de toute facon les délinquants sont maintenant fichés alors merci à Edvige, ils ne causeront plus de problèmes car ils vont être écartés de la société. Rien n´est plus vicieux qu´un cercle.

Edvige n´est q'une preuve supplémentaire de la pensée sarkozyste : je n´aide personne si ce n´est ceux qui n´ont pas besoin d´aide, et qui n´ont jamais, oh non jamais, failli ni faibli au cours de leur vie, ni même défendu leurs droits, car ceux que j´aide ont déjà tous les droits.

2 septembre 2008

Le talentueux inconnu, célèbre anonyme...

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J'ai nommé BANKSY !

Qui est-il ? D'où vient-il ? Que fait-il ? Que dit-il ?

Il est BANKSY. Ni plus, ni moins. Une signature. Un style. On ne sait pas à quoi il ressemble. Il ne veut pas qu'on le sache.

Dans cette société d'apparences, de gloire (éphémère certes), de thunes, d'images, de strass et paillettes (j'avoue j'exagère toujours un peu... Quoique.). Lui il veut uniquement exister par son art, pour son art.
Et ça, c'est déjà pas mal !

Il vient d'Angleterre, et c'est par ses "oeuvres" sur les murs de Londres qu'il s'est fait connaître.

Car en effet, BANKSY est un "graffiti artist".
Le plus célèbre et le plus anonyme des "graffiti artist".

Mais Banksy, ce n'est pas "seulement" des graffitis, c'est aussi des tableaux, des sculptures, des livres... Son style est unique mais ses techniques variées.

Banksy c'est aussi et surtout, des MESSAGES. Une phrase, un dessin, les deux, le message passe (ou pas, c'est selon).

Ironie. Humour (noir? Noir.). Dérision. Sans ménagement parfois (souvent). IL DENONCE. Beaucoup de thèmes sont abordés (jusqu'au conte d'Hansel et Grettel, revisité avec Michael Jackson dans le rôle de la sorcière, un sucre d'orge à la main...).

C'est alors dans Londres et dans beaucoup d'autres pays du monde qu'il a déjà laisser parler ses idées. Il a aussi milité pour de nombreuses causes, notamment contre la guerre en Irak, a participé à une campagne pour Greenpeace, a dénoncé le mur séparant la Palestine d'Israël (voir mon image de présentation du blog)... Il est aussi intervenu plusieurs fois dans des musées, notamment au Louvre où il a accroché un petit tableau de la joconde, la tête de celle ci étant remplacée par un smiley jaune. Ces même smileys qu'il a pour habitude de dessiner sous les casques de policiers ou militaires, tout en slogant "Have a nice day".

Banksy est donc un personnage à part. Ses oeuvres sont perçues par certains comme du simple "vandalisme", mais la majorité apprécie son travail, sa singularité, au point même que dans certains endroits de Grande Bretagne ses oeuvres sont "protégées". Ce qui est peut être le comble de l'histoire, fuir la célébrité, la critiquer et en être victime. Inévitablement...

Ce qui ne fait pas débat, c'est son talent.

Il m'est impossible de faire une sélection de ses oeuvres, je ne peux donc que vous renvoyer sur le site : www.banksy.co.uk

31 août 2008

THE PIED PIPER OF HUTZOVINA.

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31 août 2008

Le 26 août 2008, la Russie ne proclame pas l'indépendance de deux provinces mais viole l'intégrité territoriale d'un pays.

Il est dangereux d'oublier. Dangereux de vouloir oublier. Dangereux de penser oublier. Dangereux de penser avoir oublié. Si vous souhaitez oublier votre passé, partiellement ou intégralement, alors oubliez pouvoir oublier.

Les événements les plus tristes, les plus durs, les plus douloureux, les plus dramatiques qu'un individu peut traverser ne seront jamais oubliés, seulement atténués, effrités avec le temps, enfouis, refoulés. Mais jamais oubliés. Et ces mêmes événements auront, inévitablement, un impact sur le futur de l'individu. Mieux vaut alors accepter ceux ci, reconnaître leur existence, leur trouver un sens, évite leur renaissance.

L'oubli peut causer énormément de dégats sur le devenir individuel, personnel. Mais quand tout un peuple cherche à oublier, quand tout un peuple ferme les yeux et se force à effacer son passé, alors dure est la perspective d'un avenir serein, sain. Dure est la perspective même d'un avenir.

En voulant oublier au plus vite son passé la Russie n'a pas pu évoluer. En n'étant pas aidés à faire le deuil mental de leur passé, les Russes n'ont pas pu évoluer. L'économie a changé, du tout au tout, mais les mentalités sont restées les mêmes. Le peuple a toujours et encore peur de s'exprimer, ne croit plus en l'expression libre, ne croit plus même en la liberté. La démocracie n'est pas encore intégrée au sein du peuple Russe. Quant au gouvernement, ce même mot est prononcé, prôné, mais les mentalités, habitudes soviétiques n'ont en rien changé. Et alors on pense encore pouvoir dominer le monde. Tant pis pour le peuple, tant pis pour les libertés, tant pis pour les mensonges. "On est encore là.". A vouloir oublier, on n'oublie rien. On reproduit, détruit, des vies, des âmes. On reproduit. On reproduit. On reproduit. Etc. etc.

Ne jamais rien oublier, car rien ne s'oublie jamais.

31 août 2008

Faut pas déconner.

Non vraiment, ça va pas. Je me croyais forte, sincèrement, plutôt ouverte même. Pourtant, ma tolérance s'avère avoir des limites. J'avais presque réussi à passer outre le fait que le plat national soit "boulettes de viande accompagnées de patates à l'eau sur lit de confiture de groseilles" (ça laisse rêveur... je sais.). J'avais même accepté, tant bien que mal, leur addiction au SNOOS. Mais là c'est trop, le Suédois je peux pas. Je ne peux tout simplement pas. Avec tout le respect que je dois aux Suédois et à leur pays, votre langue est improbable. Vraiment. Et alors ma tolérance s'émiette...

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27 août 2008

One day left before Sweden.

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Lomma Beach, Lund

26 août 2008

Martine à Paris.

1h20 de TGV, me voilà à la Gare de l'Est. Bonjour la Capitale ! Il est 7h30 à peine et les rues sont loin d'être pleines. Commence l'errance, au gré des rues, le regard en l'air, l'air ailleurs. Paris a cette chose d'unique qui fait qu'un Français-Non-Parisien est, dans sa capitale, un touriste au même titre qu'un Italien, Russe, Anglais, Allemand (non. pas Allemand.) (kidding) etc. Il est difficile de ne pas relooker chaque recoin, chaque façade, presque même impossible de ne pas esquisser un sourire -certes niais- lorsque, flânant sous le soleil, on aime se déplacer dans cette ville qui fait partie des plus belles du monde. Sans aucun chauvinisme aucun. Bref, chaque minute à Paris est un pur moment de plaisir. Mais là j'exagère.

C'est lorsque l'on habite en Province que l'on se rend compte de la chance qu'ont les Parisiens. Alors que cela relève d'une rareté rare lorsque Libé est trouvable près de chez moi, un pas en dehors du métro et toute l'actualité, de tous bords, nous est accessible à Pawisse. Alors qu'il m'est possible de capter RTL et Europe 1 uniquement en grandes ondes chez moi, et que Skyrock et NRJ (les seules radios musicales disponnibles) ne sont trouvables qu'à l'approche des villes, il est à Paris possible de se caller sur une radio à chaque 10ème de fréquence. Faire du shopping ne s'accompagne pas d'une plannification d'une semaine au préalable et d'un chamboulement de toute autre activité durant ladite journée -les centres commerciaux étant loins, et les centre villes se faisant aussi rares que les villes dont ils sont le centre-, car chaque quartier à Paris est propice au lèche vitrine. Etc.

Pourtant, tout n'est pas rose et comme partout, Paris a son lot d'inconvénients. Comme ces feux, partout, ces voitures, partout; rien de tout ça existe dans le centre commercial Carrefour où je m'adonne au shopping/courses alimentaires. La voiture est garée dehors, à l'ombre de préférence, les boutiques sont concentrées au sein du magazin et alors aucun problème de feux, ni de circulation. Et en plus, les caddis sont d'un pratique! De plus, toute cette marche, c'est tellement fatiguant... il me faut plus marcher pour aller des Halles à Châtelet que pour parcourir l'ensemble de ce même Carrefour ! On s'économise, y'a pas à dire. Puis enfin.. les monuments, places etc. c'est trop, on s'y perd. Dans mon village il y a la place de la mairie et le monument aux morts, tout le monde s'y retrouve. A Paris c'est beaucoup moins clair, vraiment.

Je vais maintenant conclure en essayant d'apporter un modeste conseil pour le bon développement de ma Capitale, j'aurais une petite proposition par rapport à Montmartre. Ca fait bien longtemps qu'il n'y a plus de pavés par chez moi, et ce même dans mon petit bourg bien sympathique, il serait donc temps de penser à faire quelquechose. Puisque la butte est un endroit assez touristique je pense qu'il serait bien de rénover tout ça. A bon entendeur, salut !

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24 août 2008

" A FOST SAU N-A FOST ? "

Plus d'infos sur ce film

12h08 A L'EST DE BUCAREST.

16 ans après la Révolution Roumaine, certains oublient, d'autres ressassent. Certains sombrent dans les souvenirs, d'autres se lassent de se souvenir. Une histoire collective commune mais des personnalités toutes différentes. Une histoire collective commune mais des interprétations divergeantes. Dans ce petit village de Roumanie, trois personnages ayant vécu la chute du communisme, racontent. Ce qu'ils disent s'être passé. Ce qu'ils croient s'être déroulé. La Révolution a t-elle eu lieu dans leur village ou non? Voilà la question, et l'unique piste de ce scénario différent et bouleversant de sincérité, simplicité, ainsi que bourré d'humour noir et d'ironie.

Mais est-ce vraiment cette question qui importe et que le réalisateur veut mettre en avant ? En regardant l'interview des trois principaux (=seuls) acteurs (hilarants d'ironie) on apprend beaucoup sur cette période du passé, sur cette Révolution gagnée, et sur les diverses mentalités que l'on peut trouver dans la Roumanie d'aujourd'hui.

Entre "oublier" et "s'attarder" sur le passé, ces trois personnages n'ont pas encore, 16 ans après, sû comment se tourner vers l'avenir, et alors stagnent, peinent à être pleinement heureux. C'est ce problème du passé collectif qui m'interpelle dans ce film, et qui me touche. Comment faire la part des choses, s'imprégner sans oublier... Comment oser penser contrôler son avenir quand TOUT dans le passé était contrôlé?

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On a tous un truc qui nous tient à coeur.
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